|
UN LONG JOUR TORRIDE
Là-bas s’épanchera dans le vol régnant d’une libellule un long jour torride. N’approche pas cette ferveur : c’est toujours en toi que tu brûles, toujours en toi le ravage et le glissement. Le sagittaire des marais au fond d’un dieu t’égare. Paul Chaulot, Soudaine Écorce (1967) in Poèmes (1948-1969), Éditions de la revue Noah, 1983, page 165. Préface de Jean Rousselot. Dessin de Roger Toulouse. |
| PAUL CHAULOT
|
Retour au répertoire du numéro de janvier 2019
Retour à l’ index des auteurs
» Retour Incipit de Terres de femmes
Laisser un commentaire