I Cité par Henry Bauchau, La Grande muraille, Journal de la Déchirure, Actes Sud, « Babel », 2005, p. 82.
II Pierre Jean Jouve, « Quelques traductions de Pierre Jean Jouve. Sur les Sonnets de William Shakespeare », Cahier de l’Herne, Éditions de l’Herne, 1972, p. 363.
III Isabelle Kalinowski, « Maurice Blanchot, Hölderlin et Heidegger : la parole sacrée », Hölderlin actuel/inactuel, Poésie 2004, n° 100, dirigée par Jean-Yves Masson.
IV Pierre Jean Jouve, Folie et Génie, éditions Fata Morgana, 1983.
V Maurice Blanchot, « La Folie par excellence », Critique, 1951.
VI Karl Jaspers, « Strindberg et Van Gogh : Swedenborg-Hölderlin », éd. Minuit, 1953, réédition, traduction Hélène Naef, éditions Minuit-Arguments, 1990.
VII Pierre Jean Jouve en collaboration avec Pierre Klossowski, Poèmes de la folie de Hölderlin, Paris, Fourcade, 1930, réédition, Gallimard, 1963. C’est à cette édition que renvoie la mention traduction Jouve, suivie de la page. Cette traduction se trouve aussi dans le tome II de Œuvre (1987, Mercure de France, Édition de Jean Starobinski, p. 1887-2040).
VIII Maurice Blanchot, « La parole sacrée de Hölderlin », Critique n° 7, décembre 1946, p. 582, texte repris dans le recueil La Part du feu, Gallimard, 1949.
IX Michel Tamisier, Mozart, Hölderlin, suivi de Don Juan ou le mythe du théâtre, La Délirante, 1975.
X « Les lignes de la vie », traduction Garrigue, Friedrich Hölderlin, Œuvre poétique complète, texte établi par Michael Knaupp, traduit de l’allemand par François Garrigue, édition bilingue, éd. de la Différence, 2005. C’est à cette édition que renvoie la mention traduction Garrigue, suivie de la page p. 911.
XI « À Zimmer », traduction Jouve, p. 90.
XII « La Promenade », traduction Garrigue, p. 901.
XIII « La Promenade », traduction Jouve, p. 91.
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