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Ph., G.AdC
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C’est comme un texte repère, je veux dire que de son corps, il marque le temps. Contre, on y fait escale. On reprend son souffle.
Et puis, quand on est reposé, peut-être alors, on voit qu’il touche aussi la décomposition des vivants.
Je lis et relis ces mots. Je lis et relis L’Adresse. Je lis et relis Hypnovel.
Parfois avec déchirure, toujours avec la familiarité de ce qui est vrai . Merci.
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