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Ph., G.AdC [LE TEMPS NE SAIT RIEN] le temps ne sait rien de nous il est seulement ce trou qui passe dans les yeux une porte par qui sortir vers le début de l’avenir toujours je t’attends derrière ton visage qui sait où s’achève le tu il y a cette déchirure et puis le commencement a déjà commencé un pronom sans fin Bernard Noël, Des formes d’Elle, 4, in Les Plumes d’Éros, Œuvres I, P.O.L, 2010, page 282. |
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