Muriel Stuckel | [Demeure précaire]

«  Poésie d’un jour »



Toi l’absolu du verbe Qui nous épies en silence Tout au bout de la ligne
Ph., G.AdC







[DEMEURE PRÉCAIRE]




Demeure précaire
Toi qui infuses
L’ivresse de l’élan


À peine si t’anime
Le désir de la durée


Seul le jaillissement
Se rêve profondeur
De l’instant perpétuel


Demeure poésie
Toi l’absolu du verbe


Qui nous épies en silence
Tout au bout de la ligne


L’élan y sera notre mesure




Muriel Stuckel, L’Insoupçonnée ou presque, éditions Voix d’Encre, 2013, page 98. Peintures Laurent Reynès. Préface Bernard Noël.







Muriel Stuckel, L'Insoupçonnée ou presque, Voix d'encre, 2013.






MURIEL STUCKEL


Muriel Stuckel 3




■ Muriel Stuckel
sur Terres de femmes

Dans la césure de tes poèmes (extrait de L’Insoupçonnée ou presque)
La poétique des failles chez Muriel Stuckel (Chronique d’Isabelle Raviolo)
[Sous le pas d’une ombre vive] (autre extrait de L’Insoupçonnée ou presque)
[Ce n’est pas tant] (extrait d’Eurydice désormais)
Le risque de la poésie (extrait d’Eurydice désormais)
[Sous la courbe de la phrase] (extrait de Du ciel sur la paume)
[Trop vif le soleil] (extrait de Petite Suite Rhénane | Kleine Rhein-Suite)
→ (dans l’anthologie poétique Terres de femmes)
La poésie échappée



■ Voir aussi ▼

→ (sur le site des éditions Voix d’encre)
la fiche de l’éditeur sur L’Insoupçonnée ou presque



■ Notes de lecture de Muriel Stuckel
sur Terres de femmes

Jacques Estager, Douceur
Gunvor Hofmo, Tout de la nuit est sans nom
Stéphane Sangral, Circonvolutions





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Commentaires

  1. Avatar de isa25
    isa25

    Trop fière de ma soeur ! Magnifique.

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