Martine – Gabrielle Konorski | [Au versant de la pierre-écritoire]

« Poésie d’un jour »



Pour déterrer le vide
Image, G.AdC







[AU VERSANT DE LA PIERRE-ÉCRITOIRE]



Au versant
de la pierre-écritoire

nos os
se sont cognés

Le chemin de la soif

abolit
les sourires
des enfants exilés.




Pourtant

la pluie me guide

On marche à contre-sens

contre tout
contre rien

pour déterrer
le vide.



Martine – Gabrielle Konorski , Je te vois pâle… au loin, Le Nouvel Athanor, 2014, pp. 94-95. Préface de Jean-Luc Maxence.






Konorski 2
MARTINE – GABRIELLE KONORSKI


Martine Konorski NB 2
Ph. D.R. Pascal Therme
Source





■ Martine – Gabrielle Konorski
sur Terres de femmes


[Les mots cognent] (extrait de Bethani)
Bethani (lecture d’AP)
Instant de Terres (lecture de Marie-Hélène Prouteau)
« Un point ouvert » (extrait d’Instant de Terres)
un autre poème extrait d’« Un point ouvert » (Instant de Terres)
Verticale (extrait d’Une lumière s’accorde)
→ (dans l’anthologie poétique Terres de femmes)
[Vissée à la plante des pieds]




■ Voir aussi ▼

→ (sur Levure Littéraire)
d’autres extraits de Je te vois pâle… au loin (+ une notice bio-bibliographique)
→ (sur Les Carnets d’Eucharis)
d’autres extraits de Je te vois pâle… au loin (+ une notice bio-bibliographique)
→ (sur le site Robert le Diable, carnet de curiosités littéraires)
une notice bio-bibliographique sur Martine – Gabrielle Konorski





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