| RIO DI MARIA
→ (sur ecrivainsbelges.be) une lecture de Rackets du temps par Philippe Leuckx |
Retour au répertoire du numéro de juillet 2017
Retour à l’ index des auteurs
| RIO DI MARIA
→ (sur ecrivainsbelges.be) une lecture de Rackets du temps par Philippe Leuckx |
Retour au répertoire du numéro de juillet 2017
Retour à l’ index des auteurs
| PAUL FARELLIER Ph. © Philippe Barnoud Source ■ Voir aussi ▼ → (sur Les Hommes sans Épaules) une notice bio-bibliographique sur Paul Farellier → (sur La Pierre et le Sel) Paul Farellier, « rêver la saveur du temps » (une contribution de Jacques Décréau) → (sur Recours au Poème) plusieurs poèmes choisis de Paul Farellier |
Retour au répertoire du numéro de février 2017
Retour à l’ index des auteurs
|
Le 27 décembre 1882 naît à Londres Mina Gertrude Löwry, connue sous le nom de Mina Loy. « Immense poète, figure irrésistible des avant-gardes italienne, française et américaine — de Marinetti à Duchamp, de Djuna Barnes à Arthur Cravan qu’elle épousera —, avant-gardes qu’elle traverse et survole de son intelligence ironique. Entre 1914 et 1919, elle déploie dans ces manifestes écrits au scalpel une pensée radicalement utopiste et subversive. » (Loy, Manifeste féministe, Éditions Nous, 2014)
MANIFESTE FÉMINISTE (extrait) Le mouvement féministe tel qu’il est constitué à présent est Imparfait Femmes si vous souhaitez vous accomplir — vous êtes à la veille d’un soulèvement psychologique dévastateur — toutes vos illusions domestiques doivent être démasquées — les mensonges des siècles sont à congédier — Êtes-vous préparées à cet arrachement — ? Il n’y a pas de demi-mesure — NUL coup de griffe à la surface du monceau d’ordures de la tradition ne conduira à la Réforme, la seule méthode est une Démolition Absolue Cessez de placer votre confiance dans la législation économique, les croisades contre le vice & l’éducation égalitaire — vous glosez à côté de la Réalité. Des carrières libérales et commerciales s’ouvrent à vous — Est-ce là tout ce que vous voulez ? Et si vous désirez honnêtement atteindre votre niveau sans préjudice — soyez Courageuses & reniez d’emblée — ce pathétique boniment-cri de guerre la Femme est l’égale de l’homme — elle ne l’est PAS ! car L’homme qui vit une vie où ses activités se conforment à un code social le protégeant de l’élément féminin — —— N’est pas masculin Les femmes qui s’adaptent à l’évaluation théorique de leur sexe en tant qu’impersonnalité relative, ne sont pas davantage Féminines. Renoncez à chercher dans l’homme comment découvrir ce que vous n’êtes pas — cherchez au-dedans de vous-mêmes pour découvrir ce que vous êtes dans les conditions actuelles — vous avez le choix entre Parasitisme, & Prostitution — ou Négation Les hommes & les femmes sont ennemis, de cette inimitié de l’exploité pour le parasite, du parasite pour l’exploité — pour le moment ils sont à la merci de l’avantage que chacun tire de la dépendance sexuelle de l’autre—. Le seul point où les intérêts des sexes se fondent — est l’étreinte sexuelle. Mina Loy in Loy, Manifeste féministe & écrits modernistes [Jargon Society, 1982], Éditions Nous, 2014, pp. 15-16-17-18. Traduction et préface d’Olivier Apert. |
| MINA LOY
→ Chants d’amour pour Joannes → Pétunia blanc ■ Voir | écouter aussi ▼ → Arthur Cravan, poète et boxeur (Surpris par la nuit, France Culture), où l’on peut entendre un long extrait d’une lettre d’Arthur Cravan à Mina Loy |
Retour au répertoire de décembre 2016
Retour à l’ index des auteurs
Retour à l’ index de l’éphéméride culturelle
|
« Labyrinthe où | règne la solitude | reléguée | d’un Minotaure émasculé » Ph., G.AdC TERRITOIRE (extrait) Évaporation de la pensée Rites où se perd le souffle incantatoire où se construisent des semblants de dehors où s’épanouissent des inflorescences de songes où s’inculquent des respirations alternées. Va-et-vient de la mémoire effeuillant l’absence. Labyrinthe où règne la solitude reléguée d’un Minotaure émasculé. Sylvie Brès, « Territoire » (extrait) in L’Incertaine Limite de nos gestes, La rumeur libre éditions, collection poésie, nouvelle série, 42540 Sainte-Colombe-sur-Gand, 2014, pp. 36-37-38-39. |
| SYLVIE BRÈS (1954-2016) Source ■ Sylvie Brès sur Terres de femmes ▼ → Chez moi la mort était partout… → [Comme la petite seiche jette son encre] (autre poème extrait de Cœur troglodyte) → [Dès que vivant | nous côtoyons la mort] (autre poème extrait de Cœur troglodyte) → [Il fait nuit] (poème extrait d’Il fait) → [Territoires incertains] (poème extrait d’Une montagne d’enfance) ■ Voir | écouter aussi ▼ → (dans la Poéthèque du site du Printemps des poètes) une fiche bio-bibliographique sur Sylvie Brès → (sur France Culture) Sylvie Brès pour Cœur troglodyte au Castor Astral (émission Ça rime à quoi de Sophie Nauleau du 2 novembre 2014) → (sur le site de La rumeur libre éditions) la page de l’éditeur sur L’Incertaine Limite de nos gestes |
Retour au répertoire du numéro de septembre 2016
Retour à l’ index des auteurs
| SYLVIE BRÈS (1954-2016) Source ■ Sylvie Brès sur Terres de femmes ▼ → [Dès que vivant | nous côtoyons la mort] (autre poème extrait de Cœur troglodyte) → Chez moi la mort était partout… → [Il fait nuit] (poème extrait d’Il fait) → Territoire (poème extrait de L’Incertaine Limite de nos gestes) → [Territoires incertains] (poème extrait d’Une montagne d’enfance) ■ Voir | écouter aussi ▼ → (dans la Poéthèque du site du Printemps des poètes) une fiche bio-bibliographique sur Sylvie Brès → (sur France Culture) Sylvie Brès pour Cœur troglodyte au Castor Astral (émission Ça rime à quoi de Sophie Nauleau du 2 novembre 2014) → (sur les arpenteurs poétiques) un entretien de Sylvie Brès avec Jean-Marc Barrier (Lodève, Les voix de la Méditerranée, juillet 2014) |
Retour au répertoire du numéro de septembre 2016
Retour à l’ index des auteurs
|
Ph., G.AdC
|
| CLAUDINE BERTRAND Source ■ Claudine Bertrand sur Terres de femmes ▼ → [Tu t’évertues à amalgamer] (poème extrait d’Ailleurs en soi) → [La poésie s’abreuve | à la cruche trouée] (poème extrait d’Émoi Afrique(s)) → [Sur fond marin] (poème extrait de Fleurs d’orage) → Chaque seconde cède une joie nouvelle (poème extrait du Jardin des vertiges) → [Écrire pour se parcourir] (poème extrait du Jardin des vertiges) → [Mille serments sur l’oreiller] (poème extrait de Passion Afrique) → Les passeurs de mots (poème extrait de Sous le ciel de Vézelay) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) La nomade → (dans la galerie Visages de femmes) le Portrait de Claudine Bertrand (+ un poème extrait du Corps en tête) ■ Voir aussi ▼ → (sur le site L’île – L’infocentre littéraire des écrivains québécois) une notice bio-bibliographique → le site des éditions de la Lune bleue |
Retour au répertoire du numéro de juin 2016
Retour à l’ index des auteurs
PIER PAOLO PASOLINI![]() Source ■ Pier Paolo Pasolini sur Terres de femmes ▼ → 5 mars 1922 | Naissance de Pier Paolo Pasolini → 22 septembre 1962 | Sortie de Mamma Roma (Pier Paolo Pasolini) → 2 novembre 1975 | Mort de Pier Paolo Pasolini → Al principe → A na fruta (+ bio-bibliographie) → El cuòr su l’aqua → Le chant des cloches → [Ma io parlo… del mondo] (extrait de Poésie en forme de rose) → Pier Paolo, le poète assassiné ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions Nous) la fiche de l’éditeur sur La Rage de Pasolini |
Retour au répertoire du numéro d’avril 2016
Retour à l’ index des auteurs
Retour à l’ index de la catégorie Péninsule (littérature et poésie italiennes)
|
[IL DONO A VOLTE È SOLO UN VETRO OPACO]
Il dono a volte è solo un vetro opaco * che va riconosciuto in mezzo al niente va levigato, smerigliato a fatica a lungo, fino a brillare ad accecare d’un fiato la mente e poi va lavorato ancora e ancora perché torni invisibile nel tutto trasparenza pura lente. * Questa poesia mi è stata letteralmente dettata, in sogno, da Valerio Magrelli Silvia Bre, “L’argomento”, in Marmo, Giulio Einaudi Editore, 2007 [ebook 2014], pagina 9. Premio Viareggio-Rèpaci 2007.
|
| SILVIA BRE Source ■ Silvia Bre sur Terres de femmes ▼ → [Beato il mio vicino](autre poème extrait de Marmo, traduit par Philippe Leuckx) → [Il nome è troppo] (autre poème extrait de Marmo, traduit par Tiphaine Samoyault) → [Un’aquila si tiene nei miei occhi] (autre poème extrait de Marmo, traduit par Tiphaine Samoyault)[+ une notice bio-bibliographique de Silvia Bre] → [Io amo chi siede](poème extrait de La fine di quest’arte, traduit par Silva Guzzi) → [La poca la povera cosa] (autre poème extrait de La fine di quest’arte, également traduit par Silvia Guzzi) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) [È da lontano che viene] (poème inédit traduit par Silvia Guzzi) ■ Voir aussi ▼ → Traductions.it, le site de Silvia Guzzi → (sur Recours au Poème) cinq poèmes de Silvia Bre, traduits par Silvia Guzzi ■ Pour écouter Silvia Bre sur la Toile, cliquer ICI ou ICI |
Retour au répertoire du numéro de février 2016
Retour à l’ index des auteurs
Retour à l’index de la catégorie Péninsule (littérature et poésie italiennes)
JEROME ROTHENBERG Source ■ Jerome Rothenberg sur Terres de femmes ▼ → Ancestral scenes (IV) → Poèmes des carnets du castor → Visées : Kunapipi ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des Presses universitaires de Rouen et du Havre) la fiche de l’éditeur sur Secouer la citrouille → (sur lelitteraire.com) Jerome Rothenberg, Journal seneca & Secouer la citrouille, par Jean-Paul Gavard-Perret → (sur Poetry Foundation) une bio-bibliographie (en anglais) de Jerome Rothenberg |
Retour au répertoire du numéro de février 2016
Retour à l’ index des auteurs