| ARIEL SPIEGLER
→ (sur Recours au Poème) cinq poèmes d’Ariel Spiegler → (sur la revue Ce Qui Reste) Ariel Spiegler & Zoé Landry |
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| ARIEL SPIEGLER
→ (sur Recours au Poème) cinq poèmes d’Ariel Spiegler → (sur la revue Ce Qui Reste) Ariel Spiegler & Zoé Landry |
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XÉNIE
Dans la nuit parfois nos mains tremblent et tâtonnent sans jamais saisir qui nous sommes tournent et tournent nos corps dans les fils de nos cheveux chrysalides suspendues au néant. Je suis l’homme qui court et la femme qui plonge sous la glace. Quand je me suis dévêtue nue devant toi, mon amour, qui voyais-tu ? Je ne sais habiter mon seul visage ni porter un seul corps le vent qui court dans mes membres a quatre horizons. Les mains vont à rebours du cœur : méfie-toi, mon amour de la longue route où tu disparais un rideau rouge sang sépare la nuit du jour où tu renais. Cécile A. Holdban, « Poèmes » in Revue Nunc n° 38, février 2016, Éditions de Corlevour, page 110. |
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Ph., G.AdC LA PORTE DE L’ÉTABLE Prenez la terre et ce qu’il y a dessus et laissez-nous le nuage… prenez les cieux et ce qu’il y a dessous et laissez-nous le babil de l’oiseau prenez le fruit et la branche et la rumeur verte dans la feuille de la vie et laissez-nous l’ombre de l’arbre prenez la maison le jardin la clôture les chandeliers de l’autel et le licol de l’âne le rire du ruisseau et la chambre à coucher de la chèvre prenez toutes choses et toutes choses et laissez-nous la porte de l’étable afin que nous y collions l’acte de décès de nos morts (Journal Al-Akhbar, 2011) Nazih Abou Afach in Oïkoumène — Cahier « Voix poétiques de Syrie » (présentation, choix et traduction de Saleh Diab), Revue Nunc, n° 37, octobre 2015, Éditions de Corlevour, page 98.
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| NAZIH ABOU AFACH Source ■ Voir aussi ▼ → (sur Poetry International) une notice bio-bibliographique (en anglais) sur Nazih Abou Afach → (sur le site des éditions Alidades) une page sur Nazih Abou Afach → (sur La Pierre et le Sel) Actu-poème de Nazih Abou Afach → (sur le site des éditions de Corlevour) les pages sur la revue Nunc |
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| ROLAND LADRIÈRE Source ■ Voir aussi ▼ → (sur Recours au Poème) une notice bio-bibliographique sur Roland Ladrière (+ deux poèmes) → (sur le site des éditions de Corlevour) une fiche sur Inconnaissance éblouie de Roland Ladrière |
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Source [CIRQUES DE CIEL SUR LES CIRQUES DE ROCHES] Cirques de ciel sur les cirques de roches ! Les aigles y tracent des suites d’idéogrammes indéchiffrables à nos yeux pauvres, leur vol efface la graphie de leur vol, l’encre limpide en azur se dissipe. Debout, la nuque renversée — comme dans la nuit vers les étoiles fabuleuses — nous suivons jusqu’au vertige la vire d’un vol qui soudain pique, plombe, tombe ravir dans le nu des ravins — où rien ne favorise la fuite — la proie invisible dans cette immensité. La même verticale élève dans sa vitesse la bête déchireuse, la bête déchirée, le silence d’un désir et celui d’un effroi.
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| BERNADETTE ENGEL-ROUX Source ■ Bernadette Engel-Roux sur Terres de femmes ▼ → [Tu es venue, tu repars](extrait de Ce vase plein de lait) → 5 décembre 2004 | Bernadette Engel-Roux, Aubes → Le nom des choses [Une lecture de Jacques Réda, extrait] → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) [Les taupes sont de fines émietteuses] ■ Voir aussi ▼ → (sur le site de la Mél) une fiche bibliographique sur Bernadette Engel-Roux → (sur le site des éditions Corlevour) la fiche de l’éditeur sur Hauts sont les Monts → (sur La Pierre et le Sel) Bernadette Engel-Roux | l’exigence du vivre (article de Roselyne Fritel) ■ Notes de lecture de Bernadette Engel-Roux sur Terres de femmes ▼ → Jean-Claude Pirotte, À Saint-Léger | suis réfugié → Olivier Rolin, Extérieur monde → José-Flore Tappy, Tombeau → Jean-Loup Trassard, Causement |
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Ph., G.AdC DI COSA SI TRATTA Si tratta di tornare da luoghi dove mai siamo arrivati. Di pensare pensieri così a lungo sopiti da essersi ormai inabissati. Si tratta di cogliere con grata sorpresa minuscoli fiori di campo, di estrarre essenze infinite da specie ordinarie lasciate stupidamente a languire davanti alla porta. Di cominciare a vivere, ecco di cosa si tratta. Franco Marcoaldi, Il tempo ormai breve, Torino, Giulio Einaudi Editore, 2008, pagina 75. Premio internazionale “LericiPea 2008”, sezione Poesia Edita.
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| FRANCO MARCOALDI Giosetta Fioroni, Franco Marcoaldi, 2005 Source ■ Voir | écouter aussi ▼ → (sur le site de Luisella Pacco) une recension (en italien) d’Il tempo ormai breve → (sur Les Carnets d’Eucharis de Nathalie Riera) une recension du Temps désormais compté, par Philippe Leuckx → (sur Recours au poème) une recension du Temps désormais compté, par Antoine de Molesmes → (sur le site des éditions Corlevour) une page sur Le Temps désormais compté → (sur Italian Poetry) une page sur Franco Marcoaldi → (sur rai.it) « Leggere e nuotare » (« lire et nager »), un poème extrait d’Il tempo ormai breve, dit par Franco Marcoaldi |
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