Retour au répertoire du numéro de février 2021
Retour à l’ index des auteurs
Étiquette : Les Lieux Dits éditions
-
Michaël Glück | [le ciel emporte le reflet des îles]
» Retour Incipit de Terres de femmes -
Cécile Guivarch, Cent ans au printemps
par Philippe LeuckxCécile Guivarch, Cent ans au printemps,
Les Lieux-Dits éditions, Cahiers du Loup bleu, 2021.
Lecture de Philippe LeuckxDédé Guivarch, le grand-père auquel Cécile Guivarch dédie ces vingt-trois poèmes, aurait eu cent ans au printemps 2020.Fidèle à son esthétique et à sa thématique familiale, la poète Cécile Guivarch honore le destin particulier de son grand-père, qui a fait Dunkerque, avait les yeux d’un « bleu » de la « transparence d’eau ». Comme beaucoup à l’époque, il élevait des lapins, se souciait de son jardin, avait eu ses « années de mer ».Cécile Guivarch coule de bien beaux poèmes, huitains, sobres souvenances d’un temps partagé entre les cloches de Pâques et le « bal de Perriers » au quatorze juillet.Les lieux sont là pour rappeler intensément une relation insigne entre le grand-père et la petite fille. Elle s’est souvenue des meilleurs moments, de son rire, de ses « bottes | une vie entre terre et mer ».Aussi s’aide-t-elle du poème pour « faire revenir | le sourire dans les yeux ».L’appréhension du temps s’insinue jusque dans la forme du poème :
grand-père marche vers moime cueillir dans le verger.
Quel plus bel hommage que cette prise en direct dans le vif du poème qui ressuscite l’autre et sa prise !Cécile Guivarch, dont l’esthétique du bref nous est familière, n’y déroge pas plus ici. Le lyrisme, les envolées, le sentimentalisme rose, elle ne connaît pas. Elle leur préfère cette concision de scènes éclairées par la mémoire, sans apprêts ni flonflons.
CÉCILE GUIVARCH
Ph. : Michel Durigneux
Source
■ Cécile Guivarch
sur Terres de femmes ▼
→ Cent ans au printemps (lecture d’AP)
→ [Écrire ses yeux] (extrait de Cent ans au printemps)
→ [c’est tout pour aujourd’hui] (extrait de c’est tout pour aujourd’hui)
→ Cécile Guivarch, mots et mémoire en double (chronique de Marie-Hélène Prouteau)
→ Sans Abuelo Petite (lecture d’Isabelle Lévesque)
→ [Je ne sais pas si tu es encore jeune](extrait de Sans Abuelo Petite)
→ [J’ai marché sur les morts]
→ Renée, en elle (lecture d’AP)
→ [des hommes tressaillent](extrait de S’il existe des fleurs)
→ Vous êtes mes aïeux (lecture de Gérard Cartier)
→ (dans l’anthologie Terres de femmes) [ma grand-mère avait beaucoup de clés]
■ Voir aussi ▼
→ le site terre à ciel | poésie d’aujourd’hui
Retour au répertoire du numéro de février 2021
Retour à l’ index des auteurs
» Retour Incipit de Terres de femmes -
Cécile Guivarch, Cent ans au printemps
par Angèle PaoliCécile Guivarch, Cent ans au printemps,
Les Lieux-Dits éditions, Cahiers du Loup bleu, 2021.
Lecture d’Angèle PaoliÉCRIRE, COMME PAR EFFLEUREMENT
« Je ne sais pas vraiment bien pourquoi je descends ainsi jusqu’à ces aïeux. Ni pourquoi je sors des malles en carton, des vieux registres qu’on ne regarde plus. Ce serait comme creuser, forer, en extraire les racines ».
Tels sont les mots de Cécile Guivarch dans Renée en elle, lorsqu’elle parle de son aïeule lointaine. La poète n’a sans doute pas trouvé de réponse pleinement satisfaisante à son interrogation. Du moins, pas vraiment, puisqu’inlassablement elle poursuit sa quête mémorielle. Ainsi, deux ans après Renée en elle survient un recueil consacré à l’aïeul inconnu, lié au secret de la grand-mère maternelle : Sans Abuelo, Petite. Avec Cent ans au printemps, publication qui vient de paraître dans les Cahiers du Loup bleu des éditions Lieux-Dits, Cécile Guivarch poursuit son travail de creusage par l’écriture. Écrire est une réponse possible à la recherche sans cesse recommencée de la poète. Écrire, donc, pour ne pas perdre totalement ce qui a disparu. Écrire pour sauvegarder ce peu qu’il reste des objets qui parlent de l’être cher. Écrire pour se sentir proche de l’autre, et vivre, un instant encore, à l’unisson.
« le poème pour faire revenirle sourire dans les yeuxnos deux extrémités ».
Ou encore
« Écrire ses yeux pour retrouver leur couleur ».
Les poèmes de ce nouveau recueil sont tout entiers dédiés au grand-père paternel : Dédé Guivarch. Ils sont un prolongement du dialogue entre le vieil homme et l’enfant. Par-delà la mort. Ils sont un cheminement de l’une avec l’autre. À travers mots et regards échangés, à travers souvenirs. « Se souvenir nous met au monde », écrit la poète en conclusion de Cent ans au printemps.
Le temps de l’enfance est omniprésent et nombreux sont les retours en arrière. Cependant habilement reliés au présent. Cécile Guivarch évoque la simplicité de la vie paysanne de l’aïeul et sa présence tutélaire. Une vie de joies humbles et de menus plaisirs liés aux activités rurales. Une vie partagée « entre terre et mer », entre champs et jardin potager.
Jusqu’à l’irruption de la guerre :
« Si j’écris sur sa guerreun cœur en ruine me vient ».
La relation entre le vieil homme et l’enfant s’inscrit dans un paysage rassurant, avec ses bruits et ses odeurs, ses rythmes saisonniers ; en un lieu sans histoire où vivre le flux des jours s’effectue dans l’harmonie et la douceur des regards échangés. Quelque chose se dit d’un poème à l’autre d’un passé qui alliait partages et silences. D’une complicité tout en tendresse et tout en mots retenus :
« grand-père marche vers moime cueillir dans le verger ».
La silhouette du grand-père se dessine, traits et gestes disséminés par petites touches d’un poème à l’autre. « Son odeur de tabac » et « sa cigarette au bec », son « blaireau sur le lavabo », « son bleu et ses bottes ». Ce « bleu de travail » qui lui donne « un faux air de Thierry Metz ». Et son regard, « la couleur de ses yeux » ; une couleur indéfinissable, « une certaine transparence » :
« sa transparence d’eau(devenue invisible) ».
Les mots rares du vieil homme et l’économie de moyens recherchée par la poète se rejoignent dans une relation toute de tendresse et de confiance. Ce qu’il reste d’une vie. Des médailles à caresser. Une horloge rescapée de la guerre.
Avec la guerre, le temps a basculé. Les lieux se sont chargés d’ailleurs. Les mots se sont égarés. Le grand-père est parti loin de chez lui, s’est exilé de sa région. Puis il est revenu. La tête lourde, sans doute, de bruit et de fureur :
« qu’a-t-il pensé des avionsmaisons tombées en gravats ».
Ce passé de décombres, la petite fille l’interroge, sans s’appesantir. À peine quelques vers pour l’évoquer. Et des images brèves, qui mêlent couleur lumière et sons. Ou absence de sons :
« le bruit des avions(des lucioles tombent de la nuit) ».
Et comme en écho assourdi, ces vers :
« les mots sonnent vides(comme des pas perdus) ».
Le temps et les époques s’enchevêtrent. La mort à l’œuvre fait son office. Alentour la vie abandonne.
« Comme un vieil arbreun moment chacun vacille ».
La mort inouïe est incompréhensible. Comme en témoignent ce vers et la didascalie qui l’accompagne :
« quelques minutes avant ils vivaient encore(c’est rapide de mourir) ».
Évoquée dans la concision, la mise à mort des lapins est d’autant plus cruelle qu’elle est précédée d’une strophe où la poète porte sur les heureux habitants du clapier un regard d’enfant amusé et attendri.
À la mort du grand-père, la petite fille a vingt ans. Un temps long s’étire auprès de l’aïeul mourant. La jeune fille veille le vieil homme « pendant trois jours trois nuits ». Elle cherche son regard. Le passé afflue, qui ravive les souvenirs. Scènes brèves, pleines de vie, de rires, de gestes quotidiens, de fêtes au village. Incrustées profond dans la mémoire, elles jaillissent comme des flashs de lumière, même à l’instant où le chagrin déborde :
« des moments me reviennentcomme des gestes de bonheur ».
La belle originalité de ces poèmes tient dans l’ambigüité de leur structure. D’apparence simple, leur composition se révèle plus complexe qu’elle n’en a l’air. Une strophe de sept vers – 2/2/3 – séparés par deux blancs. Suit un 8e vers isolé de la strophe principale et séparé d’elle par un astérisque. Et sous ce vers unique, une parenthèse (avec des mots, expressions ou phrases en italiques). Le recueil entier est construit sur cette régularité formelle. Qui lui donne sa grande force. Mais cette régularité est aussi illusion. Quelque chose survient de l’intérieur même de la structure, un écart à peine sensible, qui infléchit le regard. Cette modification, c’est le vers isolé et sa parenthèse qui l’apportent. Se met alors en place une distance qui dit la séparation d’avec ce qui fut. La vie accordée de jadis subit une légère inflexion. Parfois même une distorsion. Lisible jusque dans le paysage, pourtant si familier :
« les arbres et les grands peupliersun bord de route et le clocherapparaît entre les branches
*
le paysage est modifié(les arbres sont alignés sur la crête) ».
Souvent elliptiques, ces parenthèses inattendues justifieraient à elles seules un vrai travail de lecture. Il arrive qu’elles soient un prolongement, un ajout, un complément d’information à ce qui précède. Il s’agit parfois d’une réflexion personnelle, d’un détail qui surprend, en accord pourtant avec la tendresse qui se dit :
« marcher la main dans la sienne(sans la faire glisser ) »
ou encore :
« le petit banc sur lequel je m’assois(encore tout contre lui) ».
Certains de ces vers font songer à un dicton :
« rire et vivre intensément(bonheur de chaque instant) ».
Si ces mises entre parenthèses surprennent par leur concision, elles surprennent aussi par leur profondeur ou leur espièglerie. Comme celle qui suit la cueillette des escargots (un chiasme ?) :
« le persil toujours au jardin(grand-père dans sa coquille) ».
Mais toujours, quel que soit le poème, ce qui se vit dans ces évocations, c’est la tendresse de la poète pour son aïeul. Écrire cette tendresse pour continuer de la vivre. En intensité. Écrire comme par effleurement. Ainsi de ces deux vers, dont l’accent me touche tout particulièrement :
CÉCILE GUIVARCH
Ph. : Michel Durigneux
Source
■ Cécile Guivarch
sur Terres de femmes ▼
→ [Écrire ses yeux] (extrait de Cent ans au printemps)
→ [c’est tout pour aujourd’hui] (extrait de c’est tout pour aujourd’hui)
→ Cécile Guivarch, mots et mémoire en double (chronique de Marie-Hélène Prouteau)
→ Sans Abuelo Petite (lecture d’Isabelle Lévesque)
→ [Je ne sais pas si tu es encore jeune](extrait de Sans Abuelo Petite)
→ [J’ai marché sur les morts]
→ Renée, en elle (lecture d’AP)
→ [des hommes tressaillent](extrait de S’il existe des fleurs)
→ Vous êtes mes aïeux (lecture de Gérard Cartier)
→ (dans l’anthologie Terres de femmes) [ma grand-mère avait beaucoup de clés]
■ Voir aussi ▼
→ le site terre à ciel | poésie d’aujourd’hui
Retour au répertoire du numéro de janvier 2021
Retour à l’ index des auteurs
Retour à l’ index des « Lectures d’@angelepaoli »
» Retour Incipit de Terres de femmes -
Cécile Guivarch | [Écrire ses yeux]
Kees van Dongen (1877 – 1968),
Symphonie bleue, vers 1920-1929
Huile sur toile, 4,7 x 26,6 cm.
Source
[ÉCRIRE SES YEUX]
Écrire ses yeux pour retrouver leur couleur
ni un bleu de ciel ni un bleu de mer
ni la jacinthe ni même l’iris
ni le bleuet ni la menthe glaciale
une certaine transparence
dans laquelle se perdre
pour quelle histoire
*
sa transparence d’eau
(devenue invisible)
Cécile Guivarch, Cent ans au printemps, Les Lieux-Dits éditions, Cahiers du Loup bleu, 2021, s.f.
CÉCILE GUIVARCH
Ph. : Michel Durigneux
Source
■ Cécile Guivarch
sur Terres de femmes ▼
→ Cent ans au printemps (lecture d’AP)
→ Cent ans au printemps (lecture de Philippe Leuckx)
→ [c’est tout pour aujourd’hui] (extrait de c’est tout pour aujourd’hui)
→ Cécile Guivarch, mots et mémoire en double (chronique de Marie-Hélène Prouteau)
→ Sans Abuelo Petite (lecture d’Isabelle Lévesque)
→ [Je ne sais pas si tu es encore jeune](extrait de Sans Abuelo Petite)
→ [J’ai marché sur les morts]
→ Renée, en elle (lecture d’AP)
→ [des hommes tressaillent](extrait de S’il existe des fleurs)
→ Vous êtes mes aïeux (lecture de Gérard Cartier)
→ (dans l’anthologie Terres de femmes) [ma grand-mère avait beaucoup de clés]
■ Voir aussi ▼
→ le site terre à ciel | poésie d’aujourd’hui
Retour au répertoire du numéro de décembre 2020
Retour à l’ index des auteurs» Retour Incipit de Terres de femmes -
Jean de Breyne | Les Formes de la lumière
Haleh Zahedi
Source
LES FORMES DE LA LUMIÈRE
(extrait)
La lumière
Peut avoir pris
La forme des mots
Rien ne tombe
Que pluie de soleil
Dans la mer
Qui s’élève
Aux yeux
L’éclair de la mouette
Un éclair qui crie
Qui ne tonne pas
Quelques fois nuée blanche
En affolement
En face du jais
D’une mémoire
Comment dire ?
Que cela vient
Part en éclairs
Soyons juste
N’éclaire rien
C’est le matin
Seulement des cris
Jean de Breyne, Les Formes de la lumière, in Haleh Zahedi | Jean de Breyne, L’Attention L’Incertitude, La Part allouée suivi de Les Formes de la lumière, Les Lieux dits éditions, Collection 2Rives dirigée par Claudine Bohi et Germain Roesz, 2020, s.f.
JEAN DE BREYNE
Source
■ Voir aussi ▼
→ (sur le site de l’Agence régionale du Livre Provence-Alpes-Côte d’Azur) une fiche bio-bibliographique sur Jean de Breyne
→ (dans la Poéthèque du site du Printemps des poètes) une fiche bio-bibliographique sur Jean de Breyne
→ (sur Recours au Poème) une page sur Jean de Breyne
→ le site Haleh Zahedi
Retour au répertoire du numéro de novembre 2020
Retour à l’ index des auteurs
» Retour Incipit de Terres de femmes -
Pierre Maubé | Kaddish pour Rose
Ph., G.AdC
KADDISH POUR ROSE
(extrait)
Rose frêle, Rose morte, Rose forte,
éternellement forte de toute sève de la vie,
face à la mort, face à la haine,
face au mal.
Kaddish
Rose abattue après tant d’années,
tant de matins où ses yeux s’ouvraient au soleil,
tant de soirs où son corps accueillait la nuit,
tant de jours, tant de nuits, tant de vie.
Kaddish
Tant de vie en toi, Rose,
qu’ils ne pourront jamais te faire disparaître,
tu es l’homme en blanc de Goya
face aux soldats qui tirent.
Kaddish
[…]
Rose, ta vie fut acte de résistance et de mémoire,
et cette résistance, cette mémoire
ne finissent pas avec toi,
tu nous les lègues,
nous en faisons notre héritage,
nous en faisons notre force de vie.
Kaddish
___________
à la mémoire de Rose Mallinger, 97 ans
et des dix autres personnes
assassinées parce que juives
dans la synagogue de Pittsburgh
le samedi 27 octobre 2018 :
Joyce Fienberg,
Richard Gottfried,
Jerry Rabinowitz,
Cécil et David Rosenthal,
Daniel Stein,
Bernice et Sylvan Simon,
Melvin Wax,
Irving Younger.
Pierre Maubé, Kaddish pour Rose in Étrange suivi de Onze kaddishim pour Rose, Les Lieux-Dits éditions, Cahiers du Loup Bleu, 2020, s.f.
PIERRE MAUBÉ
[tes jours défilent sous tes yeux] (extrait de Psaume des mousses)
■ Pierre Maubé
sur Terres de femmes ▼
→
■ Voir aussi ▼
→ Poésie maintenant, blog de Pierre Maubé
→ (sur La Cause Littéraire) une lecture d’Étrange suivi de Onze kaddishim pour Rose, par Philippe Leuckx
Retour au répertoire du numéro de novembre 2020
Retour à l’ index des auteurs» Retour Incipit de Terres de femmes -
Nicole Brossard | [je laisse tout cela se dire]
NICOLE BROSSARD
Villes d’écho (extrait de Lointaines)
■ Nicole Brossard
sur Terres de femmes ▼
→
■ Voir aussi ▼
→ (sur l’île, l’infocentre littéraire des écrivains québécois) une page sur Nicole Brossard
→ le site de Les Lieux Dits éditions
→ le site de Stéphane Mroczkowski
Retour au répertoire du numéro d’octobre 2020
Retour à l’ index des auteurs
» Retour Incipit de Terres de femmes -
Luce Guilbaud | [L’ombre amoureuse][L’OMBRE AMOUREUSE]
L’ombre amoureuse dont vient la forme
image contrastée de la mémoire et de l’oubliombre sans statutmouvante émouvanteposée sur l’instant
l’image fuit
que le contour retient
l’ombre sa chorégraphie
douleur d’absence
d’obscure transparence
confondue avec l’origine
avec la forme qui l’a pensée
Retour au répertoire du numéro de septembre 2020
Retour à l’ index des auteurs
» Retour Incipit de Terres de femmes -
Patricia Cottron-Daubigné, Femme broussaille, la très vivante
par Gérard CartierPatricia Cottron-Daubigné, Femme broussaille, la très vivante,
Les Lieux Dits éditions, Collection 2Rives, 2020.
Dessins de Mélissa Fries.
Lecture de Gérard Cartier
PATRICIA COTTRON-DAUBIGNÉ
Ceux du lointain (lecture d’AP)
■ Patricia Cottron-Daubigné
sur Terres de femmes ▼
→
→ [Je marche seul avec mon fils](extrait de Ceux du lointain)
→ Visage roman (lecture de Sylvie Fabre G.)
■ Autres lectures de Gérard Cartier
sur Terres de femmes ▼
→ Jean-Pascal Dubost, & Leçons & Coutures II
→ Alain Guillard, Quête du nom
→ Cécile Guivarch, Vous êtes mes aïeux
→ Emmanuel Moses, Ivresse
→ Muriel Pic, Élégies documentaires
Retour au répertoire du numéro de juin 2020
Retour à l’ index des auteurs
» Retour Incipit de Terres de femmes -
Estelle Fenzy | [Faire fi(n) | de l’exiguïté du temps]
ESTELLE FENZY
Ph. Tous droits réservés
■ Estelle Fenzy
sur Terres de femmes ▼
→ [Je n’ai jamais dit adieu] (poème extrait du Chant de la femme source)
→ Man’za (poème extrait de Gueule noire)
→ La Minute bleue de l’aube (lecture de Murielle Compère-Demarcy)
→ [Un seul pays natal](extrait de La Minute bleue de l’aube)
→ [Rêve silex] [extrait de Chut (le monstre dort)]
→ [Mon tablier déborde de prières](extrait de Mère)
→ [Père, | tu le sais](extrait de Par là)
→ Poèmes Western (lecture d’AP)
→ [Retrouver la neige](extrait de Poèmes Western)
→ Rouge vive (lecture d’Isabelle Lévesque)
→ Rouge vive (lecture d’AP)
→ Sans (lecture d’AP)
→ [Toi les yeux moi la voix] (extrait de L’Entaille et la Couture)
■ Voir aussi ▼
→ (sur le site de la mél, Maison des écrivains et de la littérature) une fiche bio-bibliographique sur Estelle Fenzy
→ (sur Recours au Poème) Les Cahiers du Loup bleu
Retour au répertoire du numéro de juin 2020
Retour à l’ index des auteurs
» Retour Incipit de Terres de femmes