Étiquette : Mercedes Roffé


  • Mercedes Roffé | [De muy lejos venimos]





    Le carquois plein d'éloignements peuplé d'ombres lumineuses
    Ph., G.AdC






    [DE MUY LEJOS VENIMOS]



    De muy lejos venimos
    de muy lejos,
    el carcaj de lejanίas lleno

    poblado
    de sombras luminosas
    hitos
            para entender
            para seguir
            para seguir buscando
            para seguir errando y regresar

    oh entusiasmo
    sonora arquitectura
    de encendidos vitrales

    música es
    la vida luminosa







    [DE TRÈS LOIN NOUS VENONS]



    De très loin nous venons
    de très loin,
    le carquois plein d’éloignements
    peuplé
    d’ombres lumineuses
    bornes
               pour comprendre
               pour continuer
               pour continuer à chercher
               pour continuer à errer et à retourner

    ô enthousiasme
    sonore architecture
    de vitraux incendiés

    musique elle est
    cette vie lumineuse




    Mercedes Roffé, Les Lanternes flottantes, XVI, Éditions du Noroît, Montréal, 2013, pp.68-69. Édition bilingue espagnol-français. Traduit de l’espagnol par Nelly Roffé.







    MERCEDES ROFFÉ


    Portrait de Mercedes  Roff-
    Image, G.AdC



    ■ Mercedes Roffé
    sur Terres de femmes

    Naître à nouveau (extrait de Rapprochements de la bouche du roi) [+ bio-bibliographie établie par Cécile Oumhani]
    Paysage (extrait de Définitions mayas)
    → (dans l’anthologie Terres de femmes)
    Les Lanternes flottantes, VII



    ■ Voir aussi ▼

    → (sur le site Las Afinidades electivas)
    plusieurs poèmes (en espagnol) de Mercedes Roffé issus de Definiciones mayas



    ■ Voir | écouter aussi ▼

    une interview (en anglais) [27min57] de Mercedes Roffé par le poète Leonard Schwartz (l’on y entend Mercedes Roffé dire en espagnol deux de ses poèmes)





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  • Mercedes Roffé | Les Lanternes flottantes



    LAS LINTERNAS FLOTANTES 1
    Ph., G.AdC






    LAS LINTERNAS FLOTANTES


    VII.


    He llegado hasta aquí.
    A la herida del ala.
    Contradicción perfecta
    donde todo es posible
    donde todo danza su danza-vórtice
    de silencio y vacío.


    La luz apenas
    juega a deslumbrarnos.
    A idear las formas que nos guían
    rotundas e ilusorias
                      — mesa, silla, espejo…. : rama del paraíso…
    rama
    del sueño en la vigilia
    — abierto y entregado.


    No entres por ahí.
    No acerques tu mano tibia y trémula
    al dorado picaporte.
    Verás la escena que te fue destinada
    —precisamente aquella que debías
    ver y no ver.
    Tu Alejandría siniestra y familiar.
    Roma bombardeando la casa de tu infancia.
    Una Babel de mutismos.
    No entres.
    No abras los ojos.


    Desnudeces.
    ¿Quién dice cuerpo?
    ¿Quién dice eros o amor?
    Ágape
                   interrupto en su descenso.


    Todo vuelve.
    Como aquí,
    todo vuelve.
    ¿Pero a qué?


    Oh loto bienoliente salpicado
    de sangre y barro.
    Escombros, miembros, esquirlas, ojos
    infectando
    el sagrado
                    estanque de la vida
    su corriente sagrada y estancada
    en una fosa común.


    En las paredes de la caverna,
    entre estalactitas de sangre y barro, esquirlas y miembros cercenados,
    un jazmín proyecta su sombra blanca trémula.
    Oh jazmín bienoliente y perfecto,
    abierto y entregado.


    Mercedes Roffé, Las linternas flotantes (fragmento), Buenos Aires, ediciones Bajo la luna, 2009.






    LES LANTERNES FLOTTANTES
    Ph., G.AdC






    LES LANTERNES FLOTTANTES


    VII.


    On est arrivé jusqu’ici.
    À la blessure de l’aile.
    Contradiction parfaite
    où tout est possible
    où tout danse sa danse-tourbillon
    de silence et de vide.


    La lumière joue
    presque à nous aveugler.
    À figurer les formes qui nous guident
    rotondes et illusoires
                – table, chaise, miroir… : branche du paradis
    branche
    du rêve dans la vigile
    – épanoui et offert.


    N’entre pas par là.
    N’approche pas ta main tiède et tremblante
    du loquet doré.
    Tu verras la scène qui te fut destinée
    – justement celle que tu devais
    voir et ne pas voir.
    Ton Alexandrie funeste et familière,
    Rome bombardant la maison de ton enfance.
    Une Babel de mutismes.
    N’entre pas.
    N’ouvre pas les yeux.


    Nudités.
    Qui dit corps ?
    Qui dit éros ou amour ?
    Agape
                        interrompu dans sa descente.


    Tout revient.
    Comme ici,
    tout revient.
    Mais à quoi ?


    Ô lotus odorant éclaboussé
    de sang et de boue.
    Décombres, membres, esquilles, yeux
    infectant
    l’étang
             sacré de la vie
    son courant sacré et stagnant
    dans une fosse commune.


    Dans les murs de la caverne,
    entre stalactites de sang et de boue, esquilles et membres rognés,
    un jasmin projette son ombre blanche tremblante.
    Ô jasmin odorant et parfait,
    épanoui et ouvert.


    D.R. Traduction inédite de l’espagnol (Argentine) de Nelly Roffé
    pour Terres de femmes





    MERCEDES ROFFÉ


    Mercedes_ter
    Source



    ■ Mercedes Roffé
    sur Terres de femmes

    Naître à nouveau (+ bio-bibliographie établie par Cécile Oumhani)
    Paysage
    → (dans la galerie Visages de femmes)
    le Portrait de Mercedes Roffé



    ■ Voir aussi ▼

    → (sur Recours au poème)
    Mercedes Roffé par Nelly Roffé Guanich
    → (sur Terres de femmes)
    Nelly Roffé | Argia



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  • Mercedes Roffé | Naître à nouveau

    «  Poésie d’un jour  »



    Cette lune insomniaque
    Image, G.AdC






    NACER DE NUEVO



    con los pechos

                                         con los ojos

    me beberé esa luna

    insomne

    ese espejo de luna

                                         en el grial







    NAÎTRE A NOUVEAU



    avec les seins

                                         les yeux

    je boirai cette lune

    insomniaque

    ce miroir de lune

                                         dans le Graal



    Mercedes Roffé, Rapprochements de la bouche du roi, Éditions du Noroît, 2009, pp. 114-115. Traduit de l’espagnol par Nelly Roffé.






    Portrait de Mercedes  Roff-
    Image, G.AdC





    BIO-BIBLIOGRAPHIE (établie par Cécile Oumhani)


         Née à Buenos Aires en 1954, Mercedes Roffé vit depuis 1995 à New York où elle a fondé en 1999 sa propre maison d’édition, Pen Press, dédiée à la publication de poètes contemporains de langue espagnole, ou de poètes étrangers traduits en espagnol.

        Mercedes Roffé est l’auteure de nombreux recueils de poèmes marqués à la fois par l’héritage latino-américain et par la quête de formes nouvelles. Traversés par l’interculturalité, ses poèmes témoignent d’une exigence formelle qui laisse aussi place à l’émotion.

         Ses poèmes ont été traduits et publiés dans de nombreuses revues expérimentales (Chain, Seneca Review, Prairie Schooner, The Literary Review, A’Bacus et Exact Change Yearbook) et elle est fréquemment invitée à des Festivals internationaux (Colombie, Argentine, Espagne, Roumanie, USA,…). Elle a aussi reçu une Bourse de la Fondation John Simon Guggenheim en 2001. Une anthologie de ses poèmes est parue en italien (L’algebra oscura, Bari, Quaderni della Valle, 2004. Traduzione di Emilio Coco), en Espagne (Tenerife, Colección Atlántica de Poesía, 2006), en Roumanie (Teoria culorilor, Bucaresti, Editura Academiei Internationale Orient-Occident, 2006), et la toute dernière au Royaume Uni en 2008 (Like the Rains Come. Selected Poems 1987-2006, Shearsman Books).

         Mercedes Roffé a également traduit en espagnol un grand nombre de poètes nord-américains, dont Erín Moure, Adrienne Rich, Jerome Rothenberg et Anne Waldman, mais aussi le Français Lorand Gaspar. Une sélection de ses poèmes (traduits de l’espagnol par Nelly Roffé) a également été publiée dans le numéro 5 (La joie, 2009) de la Revue de philosophie et poésie Thαumα.

        Dans la préface de la traduction française de Définitions mayas, Hélène Dorion écrit :

         « L’esprit donc. Mais aussi la chair. Aussi l’âme. Et le cœur. La poésie, pour Mercedes Roffé, est tout cela. Elle est ce flot de conscience qui englobe l’être entier, l’histoire, la culture. Surtout, elle est un processus permanent de lecture du monde. »



    Bibliographie :

        En espagnol :

    Poemas, Madrid, Síntesis, 1977 ;
    El tapiz, bajo el heterónimo Ferdinand Oziel, Buenos Aires, Tierra Baldía, 1983 ;
    Cámara baja, Buenos Aires, Último Reino, 1987 ; Santiago de Chile, Cuarto Propio, 1996 ;
    La noche y las palabras, Buenos Aires, Bajo la luna llena, 1996; Santiago de Chile, Cuarto Propio, 1998 ;
    Definiciones Mayas, New York, Pen Press, 1999 ;
    Antología poética, Caracas, Pequeña Venecia, 2000 ;
    Canto errante, Buenos Aires, tsé-tsé, 2002 ;
    Memorial de agravios, Córdoba, Alción, 2002 ;
    La ópera fantasma, Buenos Aires, Bajo la luna, 2005 ;
    Milenios caen de su vuelo, anthologie, Tenerife, Colección Atlántica de Poesía, 2005 ;
    Las linternas flotantes, Buenos Aires, Bajo la luna, 2009.

        En français et en anglais :

    Définitions mayas et autres poèmes, en édition bilingue espagnol-français, Montréal, Éditions du Noroît, 2004. Traduction de Nelly Roffé.
    Like the Rains Come, Selected Poems 1987-2006, Exeter, UK, Shearsman Books, 2008. Traduction de Janet Greenberg.
    Rapprochements de la bouche du roi, en édition bilingue espagnol-français, Montréal, Éditions du Noroît, 2009. Traduction de Nelly Roffé.
    Les Lanternes flottantes, en édition bilingue espagnol-français, Montréal, Éditions du Noroît, 2013. Traduction de Nelly Roffé.





    MERCEDES ROFFÉ


    Mercedes_ter
    Source



    ■ Mercedes Roffé
    sur Terres de femmes

    [De muy lejos venimos] (extrait des Lanternes flottantes)
    Paysage
    → (dans l’anthologie Terres de femmes)
    Les Lanternes flottantes, VII



    ■ Voir aussi ▼

    → (sur le site Las Afinidades electivas)
    plusieurs poèmes (en espagnol) de Mercedes Roffé issus de Definiciones mayas



    ■ Voir | écouter aussi ▼

    une interview (en anglais) [27min57] de Mercedes Roffé par le poète Leonard Schwartz (l’on y entend Mercedes Roffé dire en espagnol deux de ses poèmes)






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  • Mercedes Roffé | Paysage

    «  Poésie d’un jour
    choisie par Cécile Oumhani
     »



    Composition_3
    Composition, G.AdC






    PAYSAGE


    Composition (à prédominance) naturelle
    avec une certaine intention ou (coïncidence) esthétique
    harmonique ou naïve, romantique ou sinistre
    vivace ou spectrale
    bigarrée ou dégagée
    ― où le ou n’exclut pas : il accumule ―
    de toute façon
    pampa avec arbre
    mer dans la tempête
    terrain d’irrigation suisse avec tracteur au fond
    muraille crénelée et en biais, en carré ogive
    champ vert ondoyant et hameau
    roche rouge
    terre de houille noire
    fer
    autoroute goudronnée
    olivaie d’un vert intense / troncs d’un marron calciné
    vache
    coucher de soleil
    ― peut-être en surimpression
    un peu trop rapproché mon visage
    de la vitre ―
    nuages, nuages
    troupeau retardataire dans la plaine bleue
    et en bas
    telle une toile marquée par un tailleur
    ― au point floche ―
    trapèzes de terre labourée
    d’un jaune paille
    terre cuite
    gris
    asphalte
    Un peu plus : granit

    […]


    Mercedes Roffé, Définitions mayas, Montréal, Éditions du Noroît, 2004, pp. 32-33. Édition bilingue espagnol-français. Traduit de l’espagnol (Argentine) par Nelly Roffé. Préface de Hélène Dorion.






    Dfinitions_mayas_3






    PAISAJE


    Composición (predominantemente) natural
    con cierta intención o co(i)nci(d)encia estética
    armónica o naïve, romántica o siniestra
    vivida o espectral
    o bigarrada o escueta
    ― donde la o no excluye: acumula ―
    en todo caso
    pampa con árbol
    mar en tempestad
    regadio suizo con tractor al fondo
    muralla almenada y en sesgo, en ojival recuadro
    campo verde ondulado y caserio
    roca roja
    tierra negra de hulla
    hierro
    alquitranada autopista
    verde olivar intenso / troncos de un marrón calcinado
    vaca
    puesta del sol
    ― sobreimpresa quizás
    un poco demasiado cerca mi cara
    en el cristal ―
    nubes, nubes
    manada morosa por el llano azul
    y abajo
    como una tela marcada por un sastre
    ― punto flojo ―
    trapecios de tierra arada
    amarillo reseco
    terracota
    gris
    asfalto
    un poco más : granito

    […]


    Mercedes Roffé, Definiciones mayas, New York, Pen Press – Plaquettes de Poesía, 1999.






    Roff_like_the_rains_come_2





    LANDSCAPE


    (Predominantly) natural composition
    with certain aesthetic co(i)nci(d)ence or intent
    either harmonious or naïve, romantic or uncanny
    vivid or spectral
    crowded or succinct
    ― where the “or” doesn’t exclude; it adds
    at any rate
    pampa with tree
    tempest in the ocean
    Swiss farm with tractor in the background
    crenelated wall and slanted, in a Gothic frame
    green and undulating field and hamlet
    red rock
    coal-blackened soil
    iron
    tarred highway
    dark-green olive grove / charred-brown logs
    cow
    sunset
    ― and somehow overprinted
    may be too close my face
    in the crystal ―
    clouds, clouds
    sluggish herd through the blue prairie
    and below
    like a piece of cloth sewn by a tailor
    ― basting thread ―
    trapezes of plowed soil
    dried-up yellow
    clay
    charcoal
    asphalt
    even more : granite

    […]


    Mercedes Roffé, Like the Rains Come, Exeter, UK, Shearsman Books, 2008. Translated by Janet Greenberg.






    BIO-BIBLIOGRAPHIE (établie par Cécile Oumhani)


         Née à Buenos Aires en 1954, Mercedes Roffé vit depuis 1995 à New York où elle a fondé en 1999 sa propre maison d’édition, Pen Press, dédiée à la publication de poètes contemporains de langue espagnole, ou de poètes étrangers traduits en espagnol.

        Mercedes Roffé est l’auteure de nombreux recueils de poèmes marqués à la fois par l’héritage latino-américain et par la quête de formes nouvelles. Traversés par l’interculturalité, ses poèmes témoignent d’une exigence formelle qui laisse aussi place à l’émotion.

         Ses poèmes ont été traduits et publiés dans de nombreuses revues expérimentales (Chain, Seneca Review, Prairie Schooner, The Literary Review, A’Bacus et Exact Change Yearbook) et elle est fréquemment invitée à des Festivals internationaux (Colombie, Argentine, Espagne, Roumanie, USA,…). Elle a aussi reçu une Bourse de la Fondation John Simon Guggenheim en 2001. Une anthologie de ses poèmes est parue en italien (L’algebra oscura, Bari, Quaderni della Valle, 2004. Traduzione di Emilio Coco), en Espagne (Tenerife, Colección Atlántica de Poesía, 2006), en Roumanie (Teoria culorilor, Bucaresti, Editura Academiei Internationale Orient-Occident, 2006), et la toute dernière au Royaume Uni en 2008 (Like the Rains Come. Selected Poems 1987-2006, Shearsman Books).

         Mercedes Roffé a également traduit en espagnol un grand nombre de poètes nord-américains, dont Erín Moure, Adrienne Rich, Jerome Rothenberg et Anne Waldman, mais aussi le Français Lorand Gaspar.

        Dans la préface de la traduction française de Définitions mayas, Hélène Dorion écrit :

         « L’esprit donc. Mais aussi la chair. Aussi l’âme. Et le cœur. La poésie, pour Mercedes Roffé, est tout cela. Elle est ce flot de conscience qui englobe l’être entier, l’histoire, la culture. Surtout, elle est un processus permanent de lecture du monde. »



    Bibliographie :

        En espagnol :

    Poemas, Madrid, Síntesis, 1977 ;
    El tapiz, bajo el heterónimo Ferdinand Oziel, Buenos Aires, Tierra Baldía, 1983 ;
    Cámara baja, Buenos Aires, Último Reino, 1987 ; Santiago de Chile, Cuarto Propio, 1996 ;
    La noche y las palabras, Buenos Aires, Bajo la luna llena, 1996; Santiago de Chile, Cuarto Propio, 1998 ;
    Definiciones Mayas, New York, Pen Press, 1999 ;
    Antología poética, Caracas, Pequeña Venecia, 2000 ;
    Canto errante, Buenos Aires, tsé-tsé, 2002 ;
    Memorial de agravios, Córdoba, Alción, 2002 ;
    La ópera fantasma, Buenos Aires, Bajo la luna, 2005 ;
    Milenios caen de su vuelo, anthologie, Tenerife, Colección Atlántica de Poesía, 2005 ;
    Las linternas flotantes, Buenos Aires, Bajo la luna, 2009.

        En français et en anglais :

    Définitions mayas et autres poèmes, en édition bilingue espagnol-français, Montréal, Éditions du Noroît, 2004. Traduction de Nelly Roffé.
    Like the Rains Come, Selected Poems 1987-2006, Exeter, UK, Shearsman Books, 2008. Traduction de Janet Greenberg.
    Rapprochements de la bouche du roi, en édition bilingue espagnol-français, Montréal, Éditions du Noroît, 2009. Traduction de Nelly Roffé.
    Les Lanternes flottantes, en édition bilingue espagnol-français, Montréal, Éditions du Noroît, 2013. Traduction de Nelly Roffé.





    MERCEDES ROFFÉ


    Mercedes_ter
    Source



    ■ Mercedes Roffé
    sur Terres de femmes

    [De muy lejos venimos] (extrait des Lanternes flottantes)
    Naître à nouveau
    → (dans l’anthologie Terres de femmes)
    Les Lanternes flottantes, VII



    ■ Voir aussi ▼

    → (sur le site Las Afinidades electivas)
    plusieurs poèmes (en espagnol) de Mercedes Roffé issus de Definiciones mayas



    ■ Voir | écouter aussi ▼

    une interview (en anglais) [27min57] de Mercedes Roffé par le poète Leonard Schwartz (l’on y entend Mercedes Roffé dire en espagnol deux de ses poèmes)





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