[poème inédit traduit de l’italien par Silvia Guzzi]
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« È l’origine » Ph., G.AdC
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« È l’origine » Ph., G.AdC
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[IL DONO A VOLTE È SOLO UN VETRO OPACO]
Il dono a volte è solo un vetro opaco * che va riconosciuto in mezzo al niente va levigato, smerigliato a fatica a lungo, fino a brillare ad accecare d’un fiato la mente e poi va lavorato ancora e ancora perché torni invisibile nel tutto trasparenza pura lente. * Questa poesia mi è stata letteralmente dettata, in sogno, da Valerio Magrelli Silvia Bre, “L’argomento”, in Marmo, Giulio Einaudi Editore, 2007 [ebook 2014], pagina 9. Premio Viareggio-Rèpaci 2007.
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| SILVIA BRE Source ■ Silvia Bre sur Terres de femmes ▼ → [Beato il mio vicino](autre poème extrait de Marmo, traduit par Philippe Leuckx) → [Il nome è troppo] (autre poème extrait de Marmo, traduit par Tiphaine Samoyault) → [Un’aquila si tiene nei miei occhi] (autre poème extrait de Marmo, traduit par Tiphaine Samoyault)[+ une notice bio-bibliographique de Silvia Bre] → [Io amo chi siede](poème extrait de La fine di quest’arte, traduit par Silva Guzzi) → [La poca la povera cosa] (autre poème extrait de La fine di quest’arte, également traduit par Silvia Guzzi) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) [È da lontano che viene] (poème inédit traduit par Silvia Guzzi) ■ Voir aussi ▼ → Traductions.it, le site de Silvia Guzzi → (sur Recours au Poème) cinq poèmes de Silvia Bre, traduits par Silvia Guzzi ■ Pour écouter Silvia Bre sur la Toile, cliquer ICI ou ICI |
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Ph. © Patricia Weibel [LA POCA LA POVERA COSA] La poca la povera cosa si mette davanti, s’imposa come una donna nascosta in un velo da sposa E io maledetta che ho scelto la sua parte, quel buio senza ritegno in cui cadere, la fine di quest’arte. Silvia Bre, « Intonazioni nell’eco di Narciso », La fine di quest’arte, Giulio Einaudi editore, Collezione di poesia 429, Torino, 2015, pagina 53.
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Ph. © Patricia Weibel [IO AMO CHI SIEDE] io amo chi siede con accanto la sua cosa muta e quando va a dormire la contiene come sapesse dove riposa tutto il peso tutti questi passaggi della mente che si spartiscono un’accensione chissà quale fiammata senza cui vivere è glaciale Silvia Bre, La fine di quest’arte, Giulio Einaudi editore, Collezione di poesia 429, Torino, 2015, pagina 66.
Silvia Guzzi est traductrice de l’italien, de l’espagnol et de l’anglais. Après avoir obtenu sa licence en traduction avec distinction, à l’Institut Libre Marie-Haps de Bruxelles, avec un mémoire de traduction commentée du roman Temblor de Rosa Montero, elle a suivi une formation au Centre européen de traduction littéraire dirigé par Françoise Wuilmart. Elle traduit des poètes italiens, ainsi qu’une poète argentine, et ses traductions ont été accueillies sur les revues numériques de poésie Terre à ciel et Terres de femmes, sur le blog de poésie Poetarum Silva et sur le site de poésie internationale de Chiara De Luca. Elle a traduit un roman et de nombreux ouvrages en sciences humaines. Son site internet : www.traductions.it.
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Photo de Lucio Trizzino Source [BEATO IL MIO VICINO] Beato il mio vicino che dalle sue finestre coglie con gli occhi i fiori che io curo, i colori che veglio dal buio della casa. Io penso a togliere le foglie secche a dare l’acqua ai vasi appena serve, devo sempre patire quando un giorno vedo che sono morti eternamente. Per lui sono soltanto vivi, solo belli, non ha bisogno di saperne i nomi per imparare come amarli meglio. Beato lui, il vicino, che chiama il mio balcone il suo paesaggio e che di fronte a sé tra strada e cielo vede distintamente il mio destino. Silvia Bre, Marmo, Giulio Einaudi Editore, 2007 [ebook 2014], pagina 31. Premio Viareggio-Rèpaci 2007.
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| SILVIA BRE Source ■ Silvia Bre sur Terres de femmes ▼ → [Un’aquila si tiene nei miei occhi] (autre poème extrait de Marmo, traduit par Tiphaine Samoyault)[+ une notice bio-bibliographique de Silvia Bre] → [Il dono a volte è solo un vetro opaco] (autre poème extrait de Marmo, traduit par Silvia Guzzi) → [Il nome è troppo] (autre poème extrait de Marmo, traduit par Tiphaine Samoyault) → [Io amo chi siede](poème extrait de La fine di quest’arte, traduit par Silva Guzzi) → [La poca la povera cosa] (autre poème extrait de La fine di quest’arte, également traduit par Silvia Guzzi) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) [È da lontano che viene] (poème inédit traduit par Silvia Guzzi) ■ Pour écouter | voir Silvia Bre sur la Toile, cliquer ICI |
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