Image, G.AdC
À me bercer les pieds gelés à me rouler sous les
couvrantes
Pense à mon loup le rouge aux joues la vieille solitude
qui chaperonne
Je m’affuble de mes folklores ça coule de source ne
manque pas de sel
La neige peut tomber ça ne prend plus les bras s’étirent
sans épouvante sous le ciel vide où je lance tous les
noms d’oiseaux
Le cœur rallonge
Valérie Rouzeau, Va où, Le temps qu’il fait, 2002, page 77.
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