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DANS LES EAUX DU GLACIER ORIGINEL
« Dans les eaux du glacier originel j’étais limpide jusqu’à ce que la lune m’ordonne de paraître et que la tempête vienne s’allonger sur mon corps Impétueux comme l’ivresse des première fontes mon cri n’est pas parvenu aux scarabées volants Je l’ai étouffé dans le sable On entendait autre chose que l’écho et le râle des oiseaux On voyait autre chose que les eaux éplorées et la tornade de l’horizon. » Aïcha Arnaout, Fragments d’eau et autres poèmes, Al Manar, Collection Méditerranées, 2003, page 21. Traduction d’Abdellatif Laâbi. |
| AÏCHA ARNAOUT ![]() Ph. D.R. ■ Aïcha Arnaout sur Terres de femmes ▼ → Être et désêtre → La traversée du Blanc → Aïcha Arnaout, Alain Gorius | La fontaine ■ Voir aussi ▼ → (sur le site des éditions Al Manar) une fiche sur le recueil Fragments d’eau |
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