|
[ÉCRIRE POUR SE PARCOURIR]
Source Écrire pour se parcourir ainsi parle celle qui ajoute pas de frontière entre voyage en tête et voyage réel Mettre au présent le souvenir dans sa plénitude rend autres l’espace et le temps Le cœur en émoi ouvre une main pleine d’utopies Claudine Bertrand, Jardin des vertiges, L’Hexagone, Montréal, 2002, page 81. |
| CLAUDINE BERTRAND Source ■ Claudine Bertrand sur Terres de femmes ▼ → [Tu t’évertues à amalgamer](poème extrait d’Ailleurs en soi) → [La poésie s’abreuve | à la cruche trouée] (poème extrait d’Émoi Afrique(s)) → Chaque seconde cède une joie nouvelle (poème extrait du Jardin des vertiges) → [Langue de voyage] (poème extrait de Murmure de rizières) → [Mille serments sur l’oreiller] (poème extrait de Passion Afrique) → [Sur fond marin] (poème extrait de Fleurs d’orage) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) La nomade → (dans la galerie Visages de femmes) le Portrait de Claudine Bertrand (+ un poème extrait du Corps en tête) ■ Voir | écouter aussi ▼ → (sur le site L’île – L’infocentre littéraire des écrivains québécois) une notice bio-bibliographique → (sur Voix d’ici, répertoire audio de la poésie québécoise) deux extraits du recueil Autour de l’obscur, dits par Claudine Bertrand |
Retour au répertoire du numéro de décembre 2011
Retour à l’ index des auteurs
Répondre à christiane Annuler la réponse