![]() Source Ph. Pont des Chaînes, Budapest tu pleurais au bout du fil
tu oubliais mon nom dans tes sanglots tu pleurais le Danube au-dessus du ciel les mains sur des paumes chaudes tu pleurais tes yeux endormis dans un matin de novembre avant la tombée de la nuit attirée par l’oubli déjà une absence sans nom tu pleurais l’infini au ventre cette unique ville d’eaux où tu déposes ton monde entre des rives où l’île seule te regarde à travers des fenêtres embuées
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| DANIELLE FOURNIER ![]() Ph. © Josée Lambert Source ■ Danielle Fournier sur Terres de femmes ▼ → toi → ton prénom → Danielle Fournier | Luce Guilbaud, Iris (extrait) → Danielle Fournier | Luce Guilbaud [Dis-moi plutôt ce qui nous réunit](autre extrait d’Iris) → Danielle Fournier | Luce Guilbaud, Iris (note de lecture d’AP) → (dans l’anthologie poétique Terres de femmes) Pas de mots dans les mots → (dans la galerie Visages de femmes) un Portrait de Danielle Fournier (+ un poème extrait du recueil Il n’y a rien d’intact dans ma chair) ■ Voir aussi ▼ → (sur L’île, l’infocentre littéraire des écrivains québécois) une notice bio-bibliographique sur Danielle Fournier → (sur remue.net) Rencontre avec Danielle Fournier (soirée enregistrée le 4 décembre 2012 à la Mairie du 2e arrondissement, Paris) |
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